Clemmm Curiosity Cabinet

Ces tests de grossesse sont un SCANDALE !! - avec Deus Ex Silicium

2 mars 2022 06:00 Underscore_

Ce texte aborde les prétendues arnaques dans le domaine de l'électronique grand public. Il détaille notamment l'histoire de gadgets comme Hilly, prétendument un appareil de thérapie quantique onéreux qui, malgré ses promesses, offre une utilité douteuse comparée à son coût élevé. Par ailleurs, l'examen de dispositifs comme Linky et des clés de voiture Tesla révèle des complexités et des réalités techniques inattendues. Par exemple, le compteur Linky, malgré les craintes liées à la santé, fonctionne simplement via les lignes électriques et n'offre pas les fonctions inquiétantes que certains craignaient. De plus, la discussion sur les tests de grossesse électroniques illustre des coûts de production faibles face à des prix de vente élevés, générant des marges importantes sans améliorer sensiblement l'expérience utilisateur. Dans son ensemble, le texte offre un regard kritique sur la manière dont les fonctionnalités et les bénéfices des produits électroniques sont souvent présentés de manière exagérée par rapport à leur véritable utilité et coût. link

"Tout va trop vite mon bon Monsieur", une critique de l'accélération technologique avec Hartmut Rosa

12 octobre 2020 01:00 Le code a changé

À notre époque, l'accélération fait partie des caractéristiques majeures, engendrant stress et pression constante. Armoutroça, un sociologue et philosophe notable, aborde cette thématique dans son ouvrage sur l'accélération, identifiant la vitesse accrue comme un symptôme de la modernité tardive. Dans ce contexte, il questionne la place de la technologie dans cette accélération, oscillant entre critique de l'omniprésence technologique et interrogation sur son rôle dans le changement social. Sa réflexion s'articule autour de la notion de résonance, qu'il définit comme un échange authentique avec le monde, aujourd'hui entravé par l'accès immédiat et la simulation que permet le numérique. En effet, les technologies, bien qu'apportant de nombreux avantages, conduiraient à une forme de simulation de la résonance, où l'interaction humaine est médiatisée et quantifiée à l'excès, empêchant ainsi une connexion réelle et profonde avec notre environnement. La discussion d'Armoutroça avec l'auteur explore également la relation que nous entretenons avec les objets technologiques, marquée par une aliénation croissante, où l'objet, devenu une boîte noire incompréhensible, nous éloigne de toute forme de maîtrise et de résonance authentique. Cette analyse conduit à s'interroger sur la possibilité même d'établir une relation de résonance avec des entités non-humaines, tels les robots ou les intelligences artificielles, malgré leur conception de plus en plus avancée pour simuler des comportements autonomes. La conclusion d'Armoutroça est que, malgré les apparences, la technologie, en tant que telle, n'offre pas une véritable résonance, car elle repose sur des principes de simulation et de disponibilité qui ne peuvent rendre compte de l'indétermination profonde inhérente aux relations authentiques. En définitive, l'œuvre et les réflexions d'Armoutroça offrent un regard critique sur la modernité technologique, invitant à repenser notre rapport aux technologies dans la quête d'une existence plus résonante. link

Quand les artistes s'emparent des questions numériques

28 août 2020 01:00 Le code a changé

L'article révèle une expérience unique où une vidéo de Google Earth ramène anachroniquement à une scène de film de Francis Ford Coppola, tout cela orchestré par les artistes Maxime Marion et Émilie Brou. Cette œuvre s'inscrit dans une série où des scènes iconiques du cinéma sont recréées numériquement, explorant ainsi le potentiel artistique et critique de la réutilisation des outils numériques comme Google Earth. Ces artistes semblent fascinés par la manière dont les outils numériques façonnent la perception et la création artistique, recréant et manipulant l'imaginaire collectif à l'aide de la technologie moderne. Ils exploitent des thèmes comme l'obsolescence, la programmation, et la réappropriation, tout en soulignant la précarité et la pérennité des œuvres numériques. La complexité de leurs travaux se déploie aussi dans leur capacité à opérer dans l'environnement familièrement technologique, repoussant les idées reçues autour de l'art numérique et donnant lieu à une forme d'art où la démarche technique contribue essentiellement à l'impact émotionnel et critique de l'œuvre. link

Antoinette Rouvroy «Avec les big data, nous ne sommes que la somme de nos données»

11 avril 2018 18:35 liberation

Antoinette Rouvroy, professeure à l'université de Namur, explore les implications des big data et critique l'idée que l'individu n'est que la somme de ses données. Elle dénonce une logique où la norme est réduite à des mesures métriques, ignorant la singularité des personnes. Les scandales comme Cambridge Analytica ont révélé des réponses principalement techniques de la part de Facebook, sans remettre en question les fondements de leur modèle d'engagement. Rouvroy critique aussi la Silicon Valley pour son approche solutionniste, souvent réduite à des ajustements algorithmiques sans considérer les conséquences éthiques et sociales plus larges. Elle s'oppose à la notion que les données puissent tout prédire ou expliquer, soulignant que les algorithmes, tout en créant des profils de comportement, ne capturent pas la complexité humaine et souvent répliquent des biais existants. Rouvroy appelle à une reconsidération de la personnalisation algorithmique qui souvent, au lieu de servir l'individu, le réduit à un ensemble de données exploitable. Au lieu d'un avenir prédéterminé par des données historiques et actuelles, elle plaide pour un espace politique où la démocratie et la singularité humaine peuvent s'épanouir librement, sans être contraintes par les aspirations à optimiser seulement ce qui est quantifiable. link

Netflix unveils Netflix Sans, a new custom typeface developed with Dalton Maag

22 mars 2018 22:44 itsnicethat.com

Netflix a récemment dévoilé sa nouvelle police de caractères personnalisée, nommée Netflix Sans, conçue en collaboration avec la fonderie Dalton Maag pour une utilisation cohérente à travers toute l'identité visuelle de la plateforme de streaming. Le choix de développer une typographie sur mesure, selon Noah Nathan, chef de la conception de la marque chez Netflix, a été motivé par les coûts croissants liés à la licence d’utilisation de la police Gotham et par la quête d'une touche plus personnelle et exclusive pour la marque. La création de Netflix Sans répondait également à un objectif pragmatique et esthétique, avec des proportions en majuscule destinées à évoquer un aspect cinématographique, tandis que les minuscules sont conçues pour être compactes et efficaces. Noah décrit les formes de lettres comme étant propres et neutres, équilibrant l'art et la subtilité sans distractions inutiles. Diverses graisses de la police ont été produites, allant du léger au noir en passant par le régulier, le mince et le moyen, offrant ainsi une large gamme d'utilisation dans différents contextes de branding et de design graphique. En outre, l'article mentionne le travail collaboratif de leaders design chez Netflix, y compris Tanya Kumar, ainsi que l'équipe de Dalton Maag dans le processus de développement de cette typographie. link

Les facteurs bientôt tous équipés d’un smartphone, les syndicats mécontents

12 février 2013 10:08 next

La Poste en France a annoncé la généralisation de son système Facteo, un ensemble smartphone et applications dédiées, à tous ses facteurs d'ici 2015. Facteo est censé simplifier la vie quotidienne des facteurs par une multitude de fonctionnalités telles que la gestion des tournées, la suppression des bordereaux papier et l'amélioration du service client. Cependant, cette modernisation suscite des critiques de la part des syndicats tels que la CGT et Sud PTT, qui y voient un risque de suppression d'emplois et un outil de surveillance excessive. En outre, des inquiétudes sont exprimées au sujet des implications fiscales pour les facteurs, le smartphone étant considéré comme un avantage en nature taxable. Les avantages tels que l'amélioration du bien-être communautaire grâce à des visites programmées et la simplification des processus sont loués par La Poste, mais les oppositions soulevées par les syndicats pointent du doigt les défis de cette transition vers un environnement de travail plus numérisé. link

Strip-Tease avec Gilles Cohen-Solal

9 septembre 2009 09:16 Arretsurimages.net

Dans un reportage diffusé par Strip-Tease sur France 3, Gilles Cohen-Solal des éditions Héloïse d'Ormesson est montré dans une lumière défavorable, flirtant ouvertement avec une jeune auteure et tenant des propos dégradants envers d'autres écrivains. Le reportage, initialement peu remarqué, a suscité un vif écho dans la blogosphère et parmi les critiques littéraires. Des scènes filmées montrent Cohen-Solal en train de négocier avec la jeune auteure Max Monnehay pour l'édition de nouvelles érotiques, une négociation brutalement rejetée par Héloïse d'Ormesson, exacerbant les critiques à son encontre. Ce scandale a révélé des aspects peu glorieux du milieu de l'édition, où les relations personnelles semblent parfois primer sur le talent littéraire. Cohen-Solal, face aux réactions, semble avoir envisagé de se retirer de son rôle à la maison d'édition. Ce dossier complexe souligne les tensions et les défis du monde de l'édition française contemporaine. link

L'Histoire Inédite : Comment l'iPhone a Détruit L'Industrie Sans Fil

9 janvier 2008 17:49 wired

Au début des années 2000, Steve Jobs a identifié le besoin d'une convergence des dispositifs de télécommunication dans un seul appareil, ce qui a conduit au développement de l'iPhone. Ce projet, marqué par des défis de conception et de fonctionnalité, est devenu une priorité chez Apple lorsque la domination de l'iPod a été menacée par des appareils concurrents combinant musique, Internet et fonctionnalité téléphonique. Jobs, refusant les interventions des opérateurs mobiles sur la conception, a cherché un partenariat qui lui permettrait de préserver l'autonomie d'Apple sur le produit. Après un partenariat infructueux avec Motorola, Jobs a négocié un accord de partage de revenus avec Cingular (renommé AT&T), donnant naissance à un smartphone qui a successivement révolutionné non seulement le marché de la musique mobile mais aussi toute la structure de l'industrie des télécommunications. Le succès de l'iPhone de 2007, se vendant par millions, a prouvé que les consommateurs préféraient un appareil intégrant qualité de conception et fonctionnalité internet rapide, même avec un coût élevé. L'impact de l'iPhonen' a pas seulement enrichi Apple, mais modifié fondamentalement les contrats de production et les attentes des consommateurs, favorisant ainsi une ère de négociation plus équilibrée entre les fabricants de terminaux et les opérateurs réseaux. link